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Stéphane Guillon et Didier Porte multiplient les provocations à l'égard de leur directeur au moment où la station prépare sa grille de rentrée.
Ce n'est plus un humoriste ni même un chroniqueur, mais un «cas». On ne parle plus de lui qu'en ces termes:le «cas» Guillon. Depuis février 2009, où le polémiste s'était attaqué à Dominique Strauss-Kahn dans sa chronique matinale de France Inter à 7h50, en le caricaturant en obsédé sexuel, il ne se passe pratiquement pas un jour sans que les médias n'évoquent Stéphane Guillon et ses rapports conflictuels avec Jean-Luc Hees, président de Radio France, et, surtout, Philippe Val, directeur de France Inter.
Il faut dire qu'après Dominique Strauss-Kahn, il y eut notamment Martine Aubry, qualifiée de «petit pot à tabac», et Éric Besson, furieux d'avoir été présenté en «taupe» aux «yeux de fouine» de Jean-Marie Le Pen. À tel point que Jean-Luc Hees s'était senti obligé de présenter des excuses publiques au ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale : «Les critiques sur le physique des personnes n'ont pas lieu d'être sur Radio France.»
Un autre que Stéphane Guillon aurait peut-être choisi de se taire. Pas lui - provocation suicidaire ou stratégie habile ? -, qui a choisi d'envenimer les choses en s'en prenant régulièrement à ses patrons. Plus sa hiérarchie le met en garde, plus il en rajoute. Sorte de «M. Plus» du dépassement de la ligne jaune, sale gosse incontrôlable qui dit sciemment de plus en plus d'énormités en guettant la réaction de ses supérieurs.
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http://www.lefigaro.fr/medias/2010/06/15/04002-20100615ARTFIG00380-carton-rouge-pour-les-humoristes-de-france-inter.php
personnellement j'aimerais avoir en belgique ce genre d'humoriste sarcastique pour faire un pied de nez a nos politiciens